- Règle d’or budgétaire instaurant un maximum de 3% de déficit
budgétaire
- Déficit public ramené à 0% en 2016, 0,5% en 2017
- 75 milliards d'euros d'économies sur les dépenses
- Extension du système de « faillite civile » en cas de
surendettement, comme en Alsace
- Taxe de 0,1% sur les achats d’actions et sur une catégorie de
Credit defaut swap (CDS)
- Pas plus de 8 milliards d’euros de hausses d’impôts
- Taxe sur les géants du net
- Les expatriés devront payer autant que ce qu’ils auraient du
payer en France
- TVA sociale de + de 1,6 point, taux normal de la TVA à 21,2%
- Exonérer totalement de charges patronales les entreprises
embauchant des chômeurs de plus de 55 ans en CDI ou en CDD d'au
moins six mois.
- Référendum sur le chômage
- Allocations chômages dégressives dans le temps
- Arrêter le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à
la retraite dans le primaire
- Possibilité pour les enseignants de travailler 26 heures par
semaine (contre 18h)
- Création de 20.000 places supplémentaires en internat
d’excellence
- Hausse du salaire net de 840 euros par an pour ceux gagnant entre
1000 et 1400 euros via l’intégration de la prime pour
l’emploi
- Fusion de la prime pour l’emploi et du RSA
- Limitation du cumul des revenus sociaux à 75% du SMIC
- Désengorger les services d'urgences hospitalières en créant
systématiquement "une maison avec des médecins libéraux"
- Survalorisation des honoraires de médecins s’installant dans les
déserts médicaux
- « Carte sociale sécurisée » biométrique
- Création de 750 maisons de santé pluridisciplinaires
- Diviser "par deux" les droits de mutation perçus par les notaires
pour le compte de l'Etat et des collectivités locales à chaque
changement de propriétaire d'un logement.
- Maintien et développement de l’énergie nucléaire
- Taxe carbone aux frontières de l’Europe
- Passer à 23% de renouvelable dans la production d’électricité
d’ici à 2020
- Faire voter la Règle d’or budgétaire instaurant un maximum de 3%
de déficit budgétaire annuel par le Parlement
- Baisse de 115 milliards d'euros du déficit public afin que
celui-ci soit ramené à zéro en 2016,
- 75 milliards d'euros d'économies sur les dépenses
- Révision possible des accords de Schengen si les membres de
l’Union européenne ne convergent pas sur une politique
d’immigration commune
- “Buy european act“ : les entreprises produisant en Europe doivent
être privilégiées par les Etats.
- Les haussent d’impôts ne dépasseront pas les 8 milliards d’euros
au cours du mandat
- Taxer les géants du net
- Taxer les expatriés. Chaque expatrié devra signaler à
l’administration ce qu’il paye comme impôt dans son pays d’accueil.
S’il paye moins que ce qu’il aurait dû en France, il devra payer la
différence.
- Réserver une part des marchés publics aux PME
- Oseo (la banque publique de soutien aux PME) avancera le crédit
d'impôt recherche aux PME avec des prêt à taux zéro.
- Poursuite de l’exploitation des centrales nucléaires
- Exonérer totalement de charges patronales les entreprises
embauchant des chômeurs de plus de 55 ans en CDI ou en CDD d'au
moins six mois. Cette aide pour les seniors sera permanente et
limitée au plafond de la Sécurité sociale soit 36.000 euros de
salaire brut
- Référendum sur le chômage Refonte du système d’allocations
chômage pour qu’elles deviennent dégressives dans le temps
- Désengorger les services d'urgences hospitalières en créant
systématiquement "une maison avec des médecins libéraux"
- Survalorisation des honoraires de médecins s’installant dans les
déserts médicaux
- Les “30% de plus“
- Diviser "par deux" les droits de mutation perçus par les notaires
pour le compte de l'Etat et des collectivités locales à chaque
changement de propriétaire d'un logement.
- Faire voter la Règle d’or budgétaire instaurant un maximum de 3%
de déficit budgétaire annuel par le Parlement - Baisse de 115
milliards d'euros du déficit public afin que celui-ci soit ramené à
zéro en 2016, - 75 milliards d'euros d'économies sur les dépenses
- Révision possible des accords de Schengen si les membres de
l’Union européenne ne convergent pas sur une politique
d’immigration commune - “Buy european act“ : les entreprises
produisant en Europe doivent être privilégiées par les Etats.
- Les haussent d’impôts ne dépasseront pas les 8 milliards d’euros
au cours du mandat - Taxer les géants du net - Taxer les expatriés.
Chaque expatrié devra signaler à l’administration ce qu’il paye
comme impôt dans son pays d’accueil. S’il paye moins que ce qu’il
aurait dû en France, il devra payer la différence.
- Réserver une part des marchés publics aux PME - Oseo (la banque
publique de soutien aux PME) avancera le crédit d'impôt recherche
aux PME avec des prêt à taux zéro. - Poursuite de l’exploitation
des centrales nucléaires
- Exonérer totalement de charges patronales les entreprises
embauchant des chômeurs de plus de 55 ans en CDI ou en CDD d'au
moins six mois. Cette aide pour les seniors sera permanente et
limitée au plafond de la Sécurité sociale soit 36.000 euros de
salaire brut - Référendum sur le chômage Refonte du système
d’allocations chômage pour qu’elles deviennent dégressives dans le
temps
- désengorger les services d'urgences hospitalières en créant
systématiquement "une maison avec des médecins libéraux" -
Survalorisation des honoraires de médecins s’installant dans les
déserts medicaux
- Les “30% de plus“ - Diviser "par deux" les droits de mutation
perçus par les notaires pour le compte de l'Etat et des
collectivités locales à chaque changement de propriétaire d'un
logement.