bonjour. je résume mon 1er commentaire hélas perdu: à quand une politique privilégiant l'individu/le particulier et non plus le collectif/l'institution, abonnés institutionnels aux subventions/fonds européens? à quand une politique agricole avec et pour les paysans, les " comptant pour rien" du système? l'agriculture paysanne est par nature un secteur d'emploi de main d'oeuvre et de création de richesse. quel sort lui est-il réservé? Mettez-donc du contenu aux mots et aux idées, sinon la "hollandisation" guette et la déception/révolte aussi...Bon courage .
Bonjour.La lecture du programme Agriculture sous-entend "nous allons remettre une couche...de moyens"sur l'existant...même si cet existant ne donne pas de résultat.C'est du moins le triste constat que nous faisons,au risque de nous tromper. A aucun moment, dans aucune ligne, n'est prise en compte l'urgente nécessité de rendre le citoyen martiniquais acteur(producteur et consommateur) de son agriculture.Pourtant point besoin d'être issu d'HEC pour comprendre qu'il faut réactiver l'agriculture paysanne, redonner du sens à la vie des quartiers et des personnes,et redonner le goût du travail aux milliers d'allocataires du RSA, que l'on prend à témoin à chaque prise de parole.Nous en sommes en droit de connaître le contenu détaillé des programmes et l'identité es qualité des concepteurs. Malgré le formidable espoir, zot ké décivrè nou! Bien à vous.